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LE CANAL DE MONTLAUR ;  Une épopée de 150 ans

LE CANAL DE MONTLAUR ; Une épopée de 150 ans

C’est l’histoire d’une aventure collective, celle d’un canal, imaginé par des anciens, il y a 150 ans . C’est l’histoire du canal de Montlaur.

Dans Dissonances, des voix multiples vont nous donner envie de partir à la découverte de ce canal  qui serpente le long des rives du Dourdou

Aujourd’hui Dissonances vous invite à en découvrir son charme, son tracé, son environnement,  sa musique, et même sa fête-anniversaire !

 Faire revivre ce canal, c’est vous donner envie de venir le découvrir le 15 septembre 2018, à Montlaur.

NoBadTrip-Noé Mangeart;  Le processus de la création sonore

NoBadTrip-Noé Mangeart; Le processus de la création sonore

Il y a eu Pierre Henry au XXIème siècle, il y a maintenant des jeunes qui marchent sur ses traces, à l’image de NoBadTrip (Noé Mangeart) qui, du haut de ses 18 ans, a déjà créé 6 compositions originales dans le domaine de la psytrance. Il nous fait partager sa passion dévorante pour la cuisine des sons, la mixture des bruits et l’explosion des rythmes.

Dissonances vous invite à découvrir un talent incroyable niché sous les doigts et entre les écouteurs du casque de NoBadTrip.

Aujourd’hui, il sera question de dubstep, de trap, de minimal, et de psy trance bien évidemment.

Aujourd’hui nous partons à la découverte du processus de la création de cette musique électronique.

YANNICK DELCAUX, UN MARAICHER BIO..HEUREUX !

YANNICK DELCAUX, UN MARAICHER BIO..HEUREUX !

Dissonances vous emmène sur le Ségala aveyronnais, entre Montbazens et Pachins, aux jardins de  la Montanie, à la rencontre d’un maraicher bio, tout fraichement installé, Yannick Delclaux.

Yannick a eu plusieurs vies, dont celles d’un accordéoniste de talent, ce  qu’il est toujours, d’un artisan en plâtre, ce  qu’il n’est plus, d’un facteur comme il n’en reste plus beaucoup, et depuis quelques mois, il a endossé la tenue de maraicher bio.

 Dans Dissonances, il va être question  de doigts dans la terre, du plaisir de vendre des produits sains,  de lune un petit peu aussi, et  de la confusion entre agriculture locale et agriculture bio…

Mais il sera question aussi des difficultés à surmonter pour s’installer et survivre…

Mais rassurez-vous, Yannick Delclaux respire la joie de vivre, porte un regard sur son métier rempli d’humour et de détachement, tout en nous communiquant  l’amour qu’il porte à  la terre… mais pas trop aux limaces.

RENAUD DENGREVILLE;  Trappeur de vie

RENAUD DENGREVILLE; Trappeur de vie

Aujourd’hui, nous partons sur l’Aubrac, à Nasbinals en Lozère, pour y retrouver Renaud Dengreville, à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage « Souffle d’Aubrac » qui vient de paraître aux Editons Fleurines.

Renaud Dengreville, c’est un animal transformé en homme,  dont les mots sont ses outils, son regard une lumière, et le partage sa philosophie.

 Aujourd’hui, dans Dissonances, il sera question d’apprentissage de la vie et de la transmission.

Renaud, avec humilité et passion, nous parle de  ce moment si particulier où l’animal se décide à se laisser photographier. 

Dans Dissonances, Il sera question des films auxquels à participé Renaud, de ses livres, de ses photographies, de renards, de loups aussi, et de beaucoup de silences, notamment de  celui qui permet d’entendre le souffle d’Aubrac.

Son éditeur Philippe Galmiche intervient en fin d’émission.

Maintenant, il est temps de rentrer ds la maison de granit où vit Renaud , de fermer la porte, et ; alors que la cisampe souffle fort sur l’Aubrac, de se poser le temps de l’émission,  pour suivre Renaud Dengreville sur les traces de la vie sauvage.

MICHELE AUDIN;  COMME UNE RIVIERE BLEUE… 1871

MICHELE AUDIN; COMME UNE RIVIERE BLEUE… 1871

Mathématicienne, oulipienne, historienne, et romancière, Michèle Audin raconte la genèse de son roman «Comme une rivière bleue » (éditions Gallimard, collection l’Arbalète).

Elle nous dit l’amour qu’elle porte à ses personnages Marthe, Paul, Maria, Floriss… qui vivent, aiment, espèrent, travaillent, écrivent, se battent, enfermés dans Paris, pendant les soixante-douze jours qu’a duré la Commune de 1871. 

Dans Dissonances, Michèle Audin nous invite à marcher à côté de quelques uns des obscurs qui fabriquent « cette révolution qui passe tranquille comme une rivière bleue ».